Voyages d’une bande d’enfants au pays absurde d’Edward Lear.
On passe de l’effroi au rire dans le même paragraphe, mais c’est surtout une certaine forme de poésie qui guide le récit vers…
vers quoi? vers la fin qui s’écrit en ces termes:
«Il en fut de même en ce qui est du Rhinocéros, qu’ils tuèrent et empaillèrent en marque de reconnaissante adhésion, puis qu’ils installèrent comme un trophée sur le seuil de la maison familiale en guise de décrottoir élogieusement diaphane.»
L’histoire des quatre petits enfants qui firent le tour du monde
Texte d’Edward Lear
Traduction de François Ruy-Vidal
Illustrations de Stanley Mack
Mise en pages de John Bradford
Un livre d’Harlin Quist, Paris, 1970
Impression et reliure: Presses Saint-Augustin, Bruges
32 pages, 282 x 188 mm.
On passe de l’effroi au rire dans le même paragraphe, mais c’est surtout une certaine forme de poésie qui guide le récit vers…
vers quoi? vers la fin qui s’écrit en ces termes:
«Il en fut de même en ce qui est du Rhinocéros, qu’ils tuèrent et empaillèrent en marque de reconnaissante adhésion, puis qu’ils installèrent comme un trophée sur le seuil de la maison familiale en guise de décrottoir élogieusement diaphane.»
L’histoire des quatre petits enfants qui firent le tour du monde
Texte d’Edward Lear
Traduction de François Ruy-Vidal
Illustrations de Stanley Mack
Mise en pages de John Bradford
Un livre d’Harlin Quist, Paris, 1970
Impression et reliure: Presses Saint-Augustin, Bruges
32 pages, 282 x 188 mm.