Après la séparation d’Harlin Quist et François Ruy-Vidal, chacun partant éditer de son côté, le graphiste Patrick Couratin avait accompagné l’Américain, réalisant des maquettes extrêmement soignées.
Parfaitement à l’aise avec l’idée des deux éditeurs que rien n’était trop beau pour leur jeune public, il est n’est donc pas étonnant de le voir travailler à l’occasion pour Grasset Jeunesse.
Et là encore, un design unique, faisant commencer le texte sur la couverture, reléguant le dessin à un simple ornement avant de lui donner toute l’ampleur qu’il mérite, révélant le jardin une fois passés les haut murs de la couverture.
Les feuilles mortes d’un bel été
Texte de Françoise Mallet-Joris
Illustrations de Catherine Loeb
Mise en page de Patrick Couratin, réalisation de Marielle Cornu
Grasset Jeunesse, Paris, 1973
Collection dirigée par François Ruy-Vidal
24 pages, 175 x 260 mm.
Parfaitement à l’aise avec l’idée des deux éditeurs que rien n’était trop beau pour leur jeune public, il est n’est donc pas étonnant de le voir travailler à l’occasion pour Grasset Jeunesse.
Et là encore, un design unique, faisant commencer le texte sur la couverture, reléguant le dessin à un simple ornement avant de lui donner toute l’ampleur qu’il mérite, révélant le jardin une fois passés les haut murs de la couverture.
Les feuilles mortes d’un bel été
Texte de Françoise Mallet-Joris
Illustrations de Catherine Loeb
Mise en page de Patrick Couratin, réalisation de Marielle Cornu
Grasset Jeunesse, Paris, 1973
Collection dirigée par François Ruy-Vidal
24 pages, 175 x 260 mm.
