Delessert avait refusé la proposition de ses éditeurs d’illustrer les textes d’autres
auteurs que lui-même à moins qu’il ne s’agisse de Beckett ou Ionesco.
Il avait sans le vouloir rejoint l’ambition de François Ruy-Vidal et c’est ainsi que les histoires que le dramaturge d’origine roumaine racontait bien des années auparavant à sa fille devinrent une série d’albums débridés.
auteurs que lui-même à moins qu’il ne s’agisse de Beckett ou Ionesco.
Il avait sans le vouloir rejoint l’ambition de François Ruy-Vidal et c’est ainsi que les histoires que le dramaturge d’origine roumaine racontait bien des années auparavant à sa fille devinrent une série d’albums débridés.
Conte numéro 2
Eugène Ionesco
Illustrations d’Étienne Delessert
Un livre d’Harlin Quist, 1970
Éditions Universitaires, 1976, pour l’édition présentée ici
24 pages, 274 x 220 mm
