Après Jour de neige et Un garçon sachant siffler, Ezra Jack Keats publie en 1967 La Chaise de Peter, troisième album des aventures de son jeune héros.
Des aventures qui sont exceptionnellement domestiques, par comparaison avec les autres livres de la série dont la rue est le principal décor.
On savait Keats amateur de motifs : les papiers peints tapissant les pages remplacent, pour cette fois, les murs pelés de Brooklyn.
L’opposition entre intérieur et extérieur est habilement narrée par un contraste graphique qui donne toute sa dimension à la problématique nouvelle à laquelle le jeune garçon est confronté : la naissance de sa sœur Susie.
C’est donc à un petit théâtre de l’intime, à une pièce jouée à huis clos entre Peter, ses parents et bien sûr Willie, que Keats nous convie.
Des aventures qui sont exceptionnellement domestiques, par comparaison avec les autres livres de la série dont la rue est le principal décor.
On savait Keats amateur de motifs : les papiers peints tapissant les pages remplacent, pour cette fois, les murs pelés de Brooklyn.
L’opposition entre intérieur et extérieur est habilement narrée par un contraste graphique qui donne toute sa dimension à la problématique nouvelle à laquelle le jeune garçon est confronté : la naissance de sa sœur Susie.
C’est donc à un petit théâtre de l’intime, à une pièce jouée à huis clos entre Peter, ses parents et bien sûr Willie, que Keats nous convie.