Fin des années 1940, Jacqueline Duhème rencontre Eugène Grindel, plus connu sous le nom de Paul Éluard. «Paul Éluard a les yeux bleus.» écrit-elle en légende du dessin de leur première rencontre. Il feront beaucoup de choses ensemble, mais pour ce...
Abner Graboff peut tout illustrer. Plus encore, avec lui la fantaisie s’infiltre dans tous les livres, poesie, cuisine, fiction, ou ici documentaire. Personnage typique de ces commercial artists autodidactes qui ont grandi durant la grande...
Étonnant auteur que Norton Juster.
Écrivain du dimanche (son vrai gagne-pain est l’architecture) il a produit onze livres en une cinquantaine d’années, mais malgré tout, cette production fluette permit de nombreuses adaptations : deux films...
Sur un thème proche de l’Ombres de Suzy Lee, Laurent Moreau travaille l’obscurité enfantine de son séduisant pinceau. Une histoire de rêve presque sans paroles qui aurait gagné à se développer sur quelques pages de plus. Une chambre d’enfant, des...
Voix singulière dans l’illustration pour la jeunesse, René Moreu pourrait finalement être rapproché d’André François. Même génération, même liberté dans les formes, même joie dans la représentation d’un monde guidé par la fantaisie.
Un des plus importants scénaristes de bande-dessinée en France - au moins par la quantité - Jean Ollivier retrouve ici René Moreu, son complice au journal Vaillant.
Grand-mêre de tous les conteurs modernes, Luda Schnitzer (née Makowsky, ça a son importance) livre là sa seconde collaboration avec l’illustrateur René Moreu, et la première avec les éditions de la Farandole.
À la fois littéraire et documentaire, mêlant chants, légendes, histoire et informations techniques, ce livre permet à René Moreu de multiplier les approches graphiques, ajoutant à ses gouaches habituelles des collages et des images d’archives.
Adapté du film éponyme, Le plus riche moineau du monde bénéficie d’un texte là où dans l’œuvre orginale de Zdeněk Miler il n’y avait que musique et effets sonores.
Lequel livre paraît d’ailleurs la même année que commence la saga de la Petite Taupe.
Les livres scolaires représentent à eux seuls un corpus gigantesque que Cligne Cligne Magazine a choisi d’éviter précautionneusement. Sauf exceptions.
There’s a lot of school books out there, probably too much, and Cligne Cligne Magazine made the careful choice to avoid’em all. Except one.
Les livres sur les formes géométriques ne sont pas rares dans la littérature pour la jeunesse, mais traiter le thème par le biais de la poésie l’est davantage.
Books about geometric shapes are numerous among the children’s books, but few are the ones dealing with poetry.
Douze planches composent ce livre de Mitsumasa Anno, plus à compter qu’à lire.
Twelve spreads for Mitsumasa Anno’s most narrative counting book. |
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